samedi 10 mars 2012

LA LUMIERE DE LA PENSEE DE MAO TSE-TOUNG ECLAIRE LOU SIN de Hsiu Kouanping




Camarades! Jeunes combattants de la Garde rouge! Amis! 
Aujourd'hui, dans le plein essor de la grande révolution culturelle
prolétarienne déclenchée et dirigée en personne par notre dirigeant
le plus respecté et­ bien­aimé, te président Mao, le groupe du
Comité central chargé de la révolution culturelle a convoqué ce
rassemblement solennel pour rendre hommage à Lou Sin, le porte­
drapeau du front culturel; j'en suis très émue. 
Notre grand éducateur, grand dirigeant, grand commandant en chef
et grand pilote, le président Mao, a mis, dans l'ensemble du pays,
le feu à toute la plaine de la révolution culturelle qui fait trembler
le monde entier. 
Quel joie éprouverait Lou Sin s'il vivait aujourd'hui et voyait tout
cela! 
Je sens profondément qu'aujourd'hui, comme dans le passé, c'est leprésident Mao, et nul autre, lui, notre dirigeant le plus grand, le
plus respecté et le plus aimé, qui a le plus veillé sur Lou Sin, qui
l'a le mieux compris et qui a porté les appréciations les plus justes,
les plus complètes et les plus profondes sur lui... 
Le président Mao a dit : 
« Lou Sin est le généralissime de la révolution culturelle chinoise;
il est non seulement un grand homme de lettres, mais encore un
grand penseur et un grand révolutionnaire. Lou Sin est l'homme
de la fierté inflexible, sans une ombre de servilité ou
d'obséquiosité, et c'est la qualité la plus précieuse pour le peuple
d'un pays colonial ou semi­colonial. 
Lou Sin, qui représente sur le front culturel l'écrasante majorité
du peuple, est le héros national le plus lucide, le plus courageux,
le plus ferme, le plus loyal et le plus ardent qui ait jamais livré
assaut aux positions ennemies. 
La voie suivie par Lou Sin est celle de la nouvelle culture du
peuple chinois. » (La Démocratie nouvelle)
Le président Mao a fait l'éloge de Lou Sin, qu'il a présenté comme
étant le généralissime de la révolution culturelle. 
Mais celui­ci s'est toujours considéré comme un simple soldat du
Parti, il tenait ses activités révolutionnaires pour des actes qui
répondaient à « l'ordre du commandant », sa littérature
révolutionnaire pour « une littérature écrite sur ordre ». L'ordre auquel Lou Sin s'est soumis toute sa vie, c'est l'ordre du
peuple révolutionnaire, du prolétariat, du Parti et du président
Mao. 
Il a étudié assidûment et assimilé la ligne et la politique du Parti
tracées par le camarade Mao Tsé­toung. 
Il a consacré toutes ses forces au travail culturel du prolétariat. 
Tel une sentinelle, il veillait à chaque moment sur le front culturel
et se tenait parmi la formation de combat; il a mis sur pied pour le
Parti une armée culturelle nouvelle, au mépris de la fatigue, des
difficultés et du danger; il épargnait sans cesse pour soutenir les
publications culturelles du Parti... Tout cela est toujours présent à
ma mémoire et y demeurera toute ma vie. 
Lou Sin vouait une immense vénération et une affection sans borne
au président Mao, notre dirigeant infiniment respecté et bien­aimé.
Lorsque, après avoir accompli sa victorieuse Longue Marche de 25
000 li, l'Armée Rouge, dirigée par le président Mao, parvint dans
le nord de Chensi, Lou Sin lui envoya un message pour la saluer et
la féliciter. 
Il y disait avec une chaleur sans limite : « C'est en vous que la
Chine et l'humanité placent leurs espoirs. » 
Durant les années les plus sombres de la domination du
Kuomintang, il vit clairement que la guerre révolutionnaire dupeuple chinois, dirigée par le camarade Mao Tsé­toung,
émanciperait non seulement l'immense peuple laborieux de Chine,
mais apporterait aussi un espoir sans borne à toute l'humanité. 
Sa Réponse à une lettre des trotskistes, qu'il écrivit peu de temps
avant sa mort, nous montre à quel point il aimait le président Mao. 
Sous la terreur blanche des réactionnaires du Kuomintang, c'est au
mépris de sa vie qu'il déclara publiquement que c'était un très
grand honneur pour lui d'être un camarade du président Mao. 
A l'époque, Lou Sin se trouvait à un endroit très éloigné du
président Mao, mais son cœur était tourné vers le président Mao,
qu'il suivait toujours. 
Notre grand dirigeant, le président Mao, était le soleil le plus rouge
dans le cœur de Lou Sin. 
Notre grand dirigeant, le président Mao, est le e commandant en
chef, non seulement du front politique et militaire, mais aussi du
front culturel. 
A l'époque, l'invincible pensée de Mao Tsé­toung ; était le guide
suprême pour Lou Sin et d'autres travailleurs culturels
révolutionnaires, et guidé par la pensée de Mao Tsé­toung, Lou Sin
n'était que lé combattant le plus courageux qui livrait assaut aux
positions ennemies et un porte­drapeau plein de mérites du front
culturel.C'est notamment dans la lutte entre les deux lignes sur le front
culturel, au cours des années 30, que, sous la direction de
l'invincible pensée de Mao Tsé­toung, il leva haut le drapeau de la
ligne révolutionnaire prolétarienne incarnée par le président Mao,
avança le mot d'ordre prolétarien : « une littérature des masses
pour la guerre révolutionnaire nationale », démasqua
complètement les odieux traits réactionnaires des « quatre durs »,
Tcheou Yang, Tien Han, Hsia Yen et Yang Han­cheng, partisans
de la ligne capitularde de l'opportunisme de droite Wang Ming, et
qu'il fit échouer le mot d'ordre bourgeois d'« une littérature pour la
défense de la patrie ». 
Le mot d'ordre prolétarien « une littérature des masses pour la
guerre révolutionnaire nationale », que Tcheou Yang et consorts
haïssaient férocement, avait été avancé par Lou Sin conformément
à la grande directive du président Mao. 
L'éclat de la pensée de Mao Tsé­toung a guidé Lou Sin et l'a
encouragé à devenir un grand combattant communiste. 
Les révisionnistes contre­révolutionnaires comme Tcheou Yang et
ses pareils, qui se sont opposés perfidement à la pensée de Mao
Tsé­toung, vouaient une haine mortelle à Lou Sin. 
Ils ont recouru à toutes les perfidies pour l'attaquer. Tcheou Yang
publia dans de petits journaux, sous le pseudonyme de « Tse
Ying», des articles calomniant Lou Sin. 
Au moment où celui­ci était gravement malade et décidé à partirfaire une cure, Siu Mao­yong « se rua le premier avec héroïsme
contre lui », de sorte que l'état de Lou Sin s'aggrava, qu'il ne put
voyager et resta cloué au lit jusqu'à son dernier soupir. 
Les persécutions de Tcheou Yang et compagnie ne furent pas
étrangères à sa mort.
Ils l'ont non seulement diffamé de son vivant, mais aussi après sa
mort. 
Profitant en 1958 de la publication de l'œuvre complète de Lou
Sin, ils s'opposèrent au drapeau rouge en portant « le drapeau
rouge », pour falsifier l'histoire, défendre leur propre ligne de
capitulation de classe et imputer à Lou Sin le crime de
« sectarisme de gauche ». 
Un nommé Tchen Fang­wou a calomnié Lou Sin jusqu'en 1959.
Tous ces gens estimaient pouvoir tromper tout le monde en
utilisant les postes de direction qu'ils détenaient. 
Mais la brillante pensée de Mao Tsé­toung illuminait Lou Sin. 
Dans cette grande révolution culturelle prolétarienne, les complots
de Tcheou Yang et consorts ont été dénoncés, et leurs traits
révisionnistes contre­révolutionnaires ont été totalement
démasqués devant les niasses. 
Cette lutte nous permet de mieux comprendre que celui qui
soutient le président Mao, se tient à son côté et appliquerésolument sa ligne, est un révolutionnaire et peut par conséquent
apporter sa contribution au peuple. 
Celui qui s'oppose au président Mao, résiste obstinément à sa
ligne, est nettement un révisionniste contre­révolutionnaire, qui se
cogne inévitablement la tête contre le mur et se déshonore. 
Lou Sin, qui approuvait la ligne du président Mao, est devenu un
grand combattant communiste, tandis que Tcheou Yang et
consorts, qui se sont opposés à la ligne du président Mao, sont
devenus d'insigni­: fiants révisionnistes. Tel est le verdict de
l'histoire. Le président Mao a dit : « Lou Sin est l'homme de la
fierté inflexible, sans une ombre de servilité ou d'obséquiosité. »
Face à l'offensive des ténèbres et de la violence, il était pareil à un
grand arbre qui se dressait en toute indépendance, non comme une
herbe qui penche des deux côtés. 
Après avoir discerné, l'orientation politique, il a lutté
intrépidement jusqu'au bout, n'a jamais capitulé ni fait de
concessions, ni ne s'est arrêté à mi­chemin. 
Certains ont participé à la lutte au début, puis s'en sont retirés. 
Lou Sin les détestait à mort et les combattait. Je me souviens qu'il
a découvert très tôt que Hsia Yen et Pan Hannien étaient de
mauvais sujets et il ne me les a jamais présentés lorsque nous les
rencontrions. Durant sa longue vie de combat, il s'est souvent trouvé attaqué sur
deux fronts : d'un côté, il y avait la persécution par les
réactionnaires du Kuo­mintang, de l'autre, l'assaut des
opportunistes de son propre camp. 
Il maintenait une vigilance extrême contre ces derniers et les a
combattus sans répit. 
Je suis décidée, à l'exemple de Lou Sin, en cette révolution
culturelle prolétarienne qui est sans précédent, à défendre avec les
gardes rouges la ligne révolutionnaire prolétarienne incarnée par le
président Mao et à lutter implacablement contre la ligne
réactionnaire bourgeoise. 
La grande révolution culturelle prolétarienne de notre pays extirpe
les racines de la restauration du capitalisme et frappe donc
d'angoisse les impérialistes, les révisionnistes et les réactionnaires
de tous les pays, qui nous injurient. 
Ceux­ci répandent des rumeurs, nous lancent des flèches
empoisonnées, nous accusent de « détruire la civilisation », de
« détruire les écrivains ». 
Ils tentent, mais en vain, de déformer d'une manière éhontée la
brillante image de Lou Sin dans l'espoir de le situer à l'opposé de
la grande révolution culturelle de notre pays, afin d'attaquer et de
stigmatiser celle­ci. 
Les seigneurs du révisionnisme soviétique n'épargnent aucuneffort. 
Faisant passer pour blanc ce qui est noir, ils altèrent le grand
combattant communiste qu'était Lou Sin, le traitant
d'« humaniste » bourgeois et calomniant sa pensée comme étant
« humaniste par nature » et reflétant une « tendance anti­guerre ». 
J'ai trouvé récemment dans Femmes soviétiques un article intitulé
« Pour le quatre­vingt­cinquième anniversaire de Lou Sin », par un
auteur qui m'a rendu visite il y a dix ans et voici ce qu'il dit : « A
partir des souvenirs de Hsiu Kouang­ping, on ne peut s'empêcher
de comparer de nombreuses caractéristiques de la vie de Lou Sin
aux activités de grands démocrates révolutionnaires russes tels que
Tchernychevski et Dobrolioubov, et à leur grand prestige et vaste
influence parmi la jeunesse révolutionnaire russe. » 
Pour répondre aux besoins de la clique dirigeante révisionniste, cet
individu n'ose pas évoquer le « marxiste Lou Sin », comme le
président Mao l'a nommé, et de concert avec les révisionnistes
contre­révolutionnaires de l'intérieur de notre pays, il compare Lou
Sin, ce révolutionnaire prolétarien du XXème siècle, à des
démocrates bourgeois du XIXème siècle, tels Tchernychevski et
autres, que Tcheou Yang et ses pareils louaient dans l'espoir de
faire prendre des vessies pour des lanternes et de nous embrouiller
la vue et l'ouïe. 
Ce révisionniste a non seulement dit cela lui­même, mais il prétend
encore m'imposer ses paroles. C'est un mensonge extrêmement éhonté. Je vous prie de constater
par vous­mêmes à quel point il a dégénéré! 
La grande révolution culturelle prolétarienne de notre pays porte
un coup terrible aux révisionnistes contre­révolutionnaires de
l'intérieur, en même temps qu'aux révisionnistes contre­
révolutionnaires de tous genres de l'extérieur. 
Ils se débattent dans leur agonie, mais leur ruine est fixée et
inévitable. 
Vive la grande révolution culturelle prolétarienne! 
Vive l'invincible pensée de Mao Tsé­toung! 
Vive notre grand éducateur, grand dirigeant, grand commandant en
chef et grand pilote, le président Mao! 
Qu'il vive très longtemps! 
Qu'il vive très, très longtemps!

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